Nous bénéficions en cette fin d’année d’une douceur exceptionnelle. Tout le contraire du Noël blanc de l’an passé.
Et pourtant les précipitations sont importantes. Au point que bon nombre de nos paturâges regorgent d’eau, les ruisseaux et fossés divers sont bien pleins. Ajouté à cela, la fonte des neiges en provenance des Alpes Suisses et de la Forêt Noire, le lit du Rhin a bien du mal à contenir cette quantité d’eau qui ne demande qu’à se déverser dans la mer du Nord. En témoignent ces quelques images des surfaces inondées entre le lit du Rhin et la digue montrant les saules et autres peupliers les pieds dans l’eau. Selon les journées il s’écoule entre 2600 et 3200 m3 d’eau par seconde ! Une quantité phénoménale qui est régulée du mieux possible lors du passage dans les différents barrages hydro électriques situés sur la trajectoire de notre fleuve limitrophe.